Ces rues portent le nom de personnalités épleumiennes ou bourguignonnes.
Rue François Léchenet
Maire de Saint Apollinaire de 1908 à 1929 (Il était conseiller municipal depuis 1892).
En avril 1880, il épouse Mélanie Collombelle, dont le père ancien cantonnier fut élu maire de la commune en 1848. On l’appelait » le Seigneur de Saint Apollinaire », car il saignait les cochons.
C’est au cours de son mandat que l’électricité fut installée à Saint Apollinaire.
Impasse Alexis Thomas
Maire de Saint Apollinaire de 1929 à 1944.
C’est sous sa mandature que la municipalité achète la Motte de Saint Apollinaire pour en faire la Mairie-Ecole.
La petite histoire raconte qu’au moment de se faire élire maire, on chantait dans les rues de Saint Apollinaire: » Il promènera tout Saint Apo, puisqu’il possède deux autos »
Rue Tabourot des Accords
En 1550, Guillaume Tabourot achète « La Motte « de Saint Apollinaire et l’agrémente d’un pigeonnier. Elle passera ensuite à son fils Etienne, procureur du roi au bailliage de Dijon
Il est l’auteur des « Bigarrures du seigneur des Accords » œuvre comique et grivoise où foisonnent contrepèteries et jeux de mots. Étienne Tabourot se fait volontiers appeler « Seigneur des Accords » ou « Tabourot des Accords »